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fandefanfictions

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L'ÂME DU SORCIER


L'ÂME DU SORCIER


CHAPITRE 12



La porte de chambre était comme de bien entendu fermée. Kréatur transplana à l'intérieur et revint vers Pétunia lui donner quelques cheveux châtain clair qui parsemaient les draps. Pourquoi n'irai-je pas voir ce qu'est cette étrange salle de bain des Préfets après tout c'est une occasion d'aller voir ... Elle monta d'un étage. L'escalier s'élargissait jusqu'au palier. L'espace qui s'y dégageait était immense, cela était sans doute dû à la grande arche de pierre, de forme gothique qui encadrait le passage. Un panneau de marbre indiquant la salle de bain était apposé sur une porte majestueuse juste en face d'elle. Après avoir vérifié que personne ne se trouvait là, elle entra. De toute façon Mister Steven Witchblood doit avoir cours ... je ne vais pas tomber dessus ou alors c'est que la poisse se sera mise sur moi ... elle eut un sourire et agita la tête. Tu as trop d'imagination ce qui ne te ressemble décidément pas.

Après quelque pas, la salle de bain se dévoila dans toute sa splendeur. Pétunia était éblouie par tant de luxe. Elle se pencha vers l'eau encore moussante, et l'envie de s'y baigner la gagna. Hum ... et pourquoi pas ... Malgré le cap de la cinquantaine dépassé, Pétunia avait un corps ferme. L'emprise du temps s'était faîte discrète et n'avait touché que certains endroits. La magie toute nouvelle avait agit aussi de façon bénéfique, en faisant reculer certaines imperfections accentuées par l'âge et ce, sans qu'elle n'y prête attention. Pétunia ne le savait pas mais son corps reflétait sa puissance, sa magie irradiait et hypnotisait ceux et celles qui la croisait. Indifférente aux troubles qu'elle pouvait occasionner, elle avait poursuivi sa petite existence sans s'en préoccuper. Nue, elle mit un pied, (l'eau était à température parfaite) puis le deuxième. L'eau monta jusqu'à ses cuisses, puis atteignit sa taille amincie sur laquelle quelques abdominaux y étaient même sculptés discrètement. Enfin presque entièrement plongée dans l'eau qui faisait quelques remous, elle plongea ... et remonta. Une ombre passa devant ses yeux, furtive mais bien réelle. Pétunia hurla. Un rire se répercuta sur les murs de pierre, le vitrail où était peinte une sirène se peignant les cheveux, tressailli. L'ombre s'arrêta à l'angle des deux murs, puis devient plus épaisse. Une forme humaine, masculine, se matérialisa devant ses yeux.

- Que ... faîtes-vous ici parvint-elle à dire, cherchant des yeux comment s'extirper de cet endroit sans que le voyeur ne puisse se rincer l'½il.

- Je compte bien me laver ... j'avoue. Il sourit mauvais, puis ajouta : « cependant avoir apprécié le spectacle ».

- Vous ... vous voulez dire que vous avez tout vu ?

- Oui, et vous me surprenez. À votre âge je ne pensais pas que votre corps soit si parfait. Cela ouvre une question d'ailleurs. Je pense que l'entretien physique n'est pas la seule raison ... Il eut un sourire gourmand, ses yeux bleus fixaient l'eau, la reluquant le plus qu'ils le pouvaient.

- Je ne voix pas ce que vous sous-entendez. Quoiqu'il en soit je vous prie de vous retourner ... je vais m'en aller ... le c½ur de Pétunia s'affolait sous l'apparence calme, et ferme qu'elle voulait à tout prix donner.

- Je ne vous le promets pas fit l'autre, clairement pas disposé à lui obéir.

- Je ...

- Mais, la coupa t-il, je suis prêt à faire un geste, il s'appuya langoureusement contre le rebord de la gigantesque baignoire.

- Et quel geste ? En échange de quoi ?

- Chuuut ... tout doux sorcière. Il avait craché le dernier mot et Pétunia ressentit une brusque envie de le gifler. Il sourit à nouveau, narquois.

- Vous me dîtes ce que vous faisiez vers ma chambre ... il sortit ses mains de l'eau pour en regarder ses ongles, et peut-être que je vous laisserai repartir mais en vous regardant bien sûr, ce sera le prix à payer. N'escomptez pas le contraire.

- VOUS ÊTES UN MUFLE !

- Ça se peut ... et même si ... je prends mon plaisir ou je le peux (sa main faisait des cercles dans l'eau), c'est mon affaire. Vu votre âge vous devriez être heureuse d'être regardée de ma manière.

Les ongles de Pétunia s'étaient enfoncées dans la chair mais elle n'en ressentait pas la douleur. Une curieuse léthargie l'envahissait et soudain elle réalisa que c'était lui, cet homme qui en était la cause ... les cercles s'élargissaient dans sa direction.

- Alors ? J'attends ... sa voix était sous-tendue d'une menace. Que faisiez-vous vers ma chambre ?

- Je ... je cherchais ... cette salle de bain ! Et je me suis trompée ... il lui était de plus en plus dur de parler.

À ces mots, Steven quitta son rebord et Pétunia sentit la terreur l'envahir pour de bon dans son corps. Son cerveau lui avait les plus grandes peines du monde à réagir. Fais taire tes émotions, attaque-le, maintenant ! sinon tu vas mourir ! mais Steven avait anticipé et avec sa baguette murmura un sort d'immobilisation. Par instinct, Pétunia d'un geste précis parvint à le dévier in extrémis, et plongea prudemment pour éviter un ricochet.

- Rapide malgré mon sort à ce que je vois gronda t-il. Avec horreur Pétunia qui prenait sa respiration vit les deux jambes et le boxer de bain trop proche d'elle pour l'éviter. Une main l'agrippa à son cou et la tira violemment à lui. Elle sentait sa force, et la magie des cercles avait annihilée toute sa magie pour un moment.

- Alors ... je veux une réponse ... son visage était très proche du sien. Elle tenta de se défaire de l'emprise, mais celle-ci était comme indéfectible, elle distillait en elle une douleur insupportable.

- D'accord ... je voulais voir ... elle grimaça sous la pression qui s'accentuait dans son cou.

- Oui ... ? Je ne relâcherai pas la pression, j'aime quand vous souffrez.

- Je voulais voir ce que vous cachez ... s'il-vous plait ! Lâchez-moi ! vous avez été dans ma chambre c'était juste ... juste un retour des choses.

- Je n'aime pas les fouineuses de votre genre, quant à moi je fais mon boulot ... c'est vrai que je l'aime tellement que je ne rechigne pas à faire des heures supplémentaires.

Tu vas finir par te fatiguer ... tu ne vas pas pouvoir exercer ton emprise ... trop longtemps ! enfin je l'espère ! Pensait Pétunia cherchant par tout les moyens de se rassurer. Steven sans état d'âme, lui plongea alors la tête dans l'eau savonneuse sans qu'elle n'eut le temps de prendre sa respiration.


°°°°°°°°°°°°


Mimi geignarde qui avait suivit Pétunia et qui avait été témoin de ce qu'il venait de se passer, passa discrètement par une canalisation et parvint à Severus qui était toujours dans le bureau de Minerva.

- IL FAUT ALLER TOUT DE SUITE À LA SALLE DE BAIN DES PRÉFETS !

- Mimi ? Minerva la regardait interloquée et légèrement agacée. Pourquoi ?

- Un homme que je n'aime pas du tout essaie de tuer la femme moldue, la sorcière qui n'est pas comme nous.

- Quoi ?! Pétunia ?

- Oui c'est ça !

- Allons-y Severus ! Minerva sans plus attendre passa devant et la petite troupe fila aussi vite que possible lui porter secours.

C'était la deuxième fois que Pétunia buvait la tasse et elle sentait confusément que la troisième fois lui serait fatale. La voix de Steven était comme à des kilomètres. Elle l'entendit nettement lui susurrer désagréable que l'eau tout comme le feu n'étaient pas des éléments favorables aux sorcières de son genre. C'est tout ce que son cerveau enregistra. La main de Steven lui enserra une nouvelle fois son cou et s'apprêtait à la tuer pour de bon, lorsqu'une cavalcade dans les escaliers lui fit relâcher son emprise.

Minerva entra en trombe, baguette en avant, suivie de Severus. Steven s'était détaché de sa victime et était tranquillement entrain de se rhabiller. Pétunia s'était accrochée au rebord, le cou marqué par des marques laissées par une main à la force exceptionnelle. Elle reprenait son souffle et surtout ses forces. Son visage avait une pâleur cadavérique et ses yeux étaient injectés de sang.

- Et bien ? Miss Dursley comment ... Minerva s'approcha d'elle et vit les marques laissées par son agresseur. Elle se tourna vers Steven Witchblood menaçante.

- Pourquoi avez-vous agressé cette femme ?

- J'ai mes raisons répliqua Steven, nullement affecté.

- Miss Evans ? Pétunia ? Des explications ?

Pétunia tenta de parler mais les mots refusèrent de passer sa gorge tuméfiée.

- Monsieur Witchblood je vous veux immédiatement dans mon bureau fit Minerva à présent furieuse. Vous me devez une voire des explications. Vous n'avez aucune raison valable pour vous en prendre à cette personne.

- J'en ai voyez-vous ... mais elle ne vous concerne en rien.

- Elle nous concerne ... et j'ajouterai que je ne vous rencontre pas, à nouveau, intervint Severus le visage marqué par une fureur qu'il tentait tant bien que mal de dissimuler.

- Ôh professeur Rogue, à d'autres, je ne suis plus un de vos élèves que vous pouviez intimider. Il arqua insolemment ses sourcils. À ce qu'on dit, vos pouvoirs ont disparu, alors quelle punition pourriez-vous m'infliger ? De plus je crois que c'est à cause d'elle que vous êtes dans cette situation, me trompe-je ?

Severus s'obligea au calme et mobilisa pour ce faire toute sa volonté. Il ferma les yeux et sur un ton calme s'adressa à Mc Gonagall.

- Je vais me charger de Pétunia lui dit-il.

- Bien, allons-y nous deux. Minerva et Steven quittèrent au pas de charge les lieux.

Pétunia fut sortie de l'eau avec l'aide de Severus. Elle tenta de parler mais cela lui était encore impossible.

- Je peux tenter de te soigner ça ... je connais une potion qui réduit les effets des tuméfactions mais ma magie étant inexistante euh ..., enfin si je te guide, tu pourras la faire et te soigner.

Elle le regarda avec tendresse et sa main passa sur la joue creusée et blême de son amour de sorcier.

- Pétunia ... la voix de Severus était devenue rauque, très sensuelle. Les prunelles noisette étaient accueillantes, elles invitaient à profiter du cadre. Tu ne penses pas que nous allons prendre du retard dans notre objectif ? Hum ? Et puis j'ai du mal à te regarder sans que ... je me dis que j'ai été incapable de te protéger et que tu as failli mourir par ma faute.

Elle sourit et fit « non » de la tête. Sa bouche vint à l'encontre de la sienne et Severus céda. Des cris et des gémissements d'extase s'échappèrent bientôt de la salle de bain des Préfets. La sirène, reine des lieux décida de bouder et de se tourner vers le parc de Poudlard tout en se bouchant les oreilles.



°°°°°°°°°°°°°°°°


Dans la soirée, alors qu'ils attendaient minuit, (et surtout une suggestion pour s'approprier un objet de pouvoir de Steven Witchblood) ils apprirent que celui-ci quittait définitivement Poudlard. Le rituel n'ayant plus lieu d'être ils décidèrent d'en pratiquer un autre.

Severus ressentit pour la première fois cette énergie étrange que Pétunia parvenait à contrôler presque d'instinct. Les herbes qu'ils avaient misent à brûler, les incantations, tout cela donnaient une force étrange, une métamorphose de leur être profond. Une sensation de voler attrapa l'esprit de Severus et celui-ci eut clairement l'impression de quitter la terre ferme. Il volait, comme un aigle, à moins que ce soit un faucon ... il planait à présent au-dessus du majestueux château qu'était Poudlard. Il passa le portail franchi au même instant par Steven Witchblood et ses valises. Il sentit une force ancienne émaner de l'AUROR qui leva la tête dans sa direction et le suivit de son regard perçant. Non seulement il volait, mais voyait comme un Faucon, et un instinct de chasseur enfouit en lui depuis très longtemps, ressurgit. Un cri étrange lui fit lever le bec et il vit un oiseau identique à lui-même, le rejoindre. Il sut au fond de lui qu'il s'agissait de Pétunia mais cette pensée disparut aussi vite qu'elle avait naquit. Ils se rejoignirent et volèrent ainsi jusqu'à la renaissance du soleil. Ils se posèrent et reprirent leur apparence humaine. L'énergie de la nuit, de cette toute nouvelle magie ne demandait qu'à grandir en eux et à nouveau ils lièrent leur pouvoir.

C'était samedi et après une courte nuit de sommeil, Pétunia et Severus allèrent chercher Harry qui était tout content de retrouver Poudlard ce week end avant les vacances de Noël.

Sa compagne étonna beaucoup Severus. Harry lui, était fier comme s'il venait de remporter la coupe du monde de Quidditch. C'était d'ailleurs le seul point de mésentente du couple à ce que compris Pétunia. Pansy n'était pas du tout intéressée par ce sport.

- Tu m'étonneras toujours, glissa discrètement Severus à Harry.

- N'est-ce pas dit l'autre, sibyllin.

Steven Witchblood tournait dans sa modeste demeure Londonienne comme un fauve que l'on vient de priver de liberté. Il avait été à deux doigts de la mettre hors d'état de nuire et il avait fallut qu'il y est un bug comme disent les moldus.

- Je la tenais ... j'aurais pu la détruire ... si ... un sourire mauvais montra ses dents parfaitement alignées et d'une blancheur incroyable. Il était beau malgré le mal qui transpirait de sa personne. Une petite moldue aurait sans problème pu l'appeler « Ken » le mari d'une certaine poupée aux cheveux blonds et longs , qui est encore actuellement un grand succès commercial.

Il étira ses longues jambes musclées tout en tirant un tiroir de son secrétaire. Il y avait un double fond parfaitement discret dans lequel des objets s'entrecroisaient dans un joyeux désordre. Un livre tâché de traces de moisissures et d'humidité sentant le vieux papier dont la couverture de cuir tannée par toutes les mains dans lesquelles elle était passée prenait la plus grande place. Il le prit et le posa délicatement sur le sous-main et murmura au-dessus tout en faisant des signes aériens, comme des lignes tracées.


Oh Livre des Ombres
Révèle tes secrets
Révèle moi le nom
D'une sorcière
Par mon pouvoir
Par mon Sang
Montre moi
Son nom véritable

Oh Livre des Ombres
Par le Cercle de craie
Par cette chanson
Et par le vent, par l'air
Fais-moi Voir
Déroule le temps
Montre moi
Son nom véritable

Il se leva et traça un cercle à la craie sur le parquet mais veilla à ne pas le fermer. Sur le sol il avait disposé aux quatre coins cardinaux, quatre objets magiques symbolisant les quatre éléments. Au Nord se trouvait un petit bol de sel, à l'Est des herbes consacrées brûlaient, au Sud une bougie rouge symbolisait le Feu et enfin à l'Ouest un bol d'eau représentant l'eau, Steven se tenait en son centre et psalmodiait sa supplique tout en refermant le cercle par des signes mystérieux. Il revint au centre et ses pieds bien en contact avec le sol attendit que la magie fasse son ½uvre.

Le pouvoir entra en lui. Sa conscience bascula en douceur dans le passé. Il reprit son corps d'une vie très ancienne. Une sorcière magnifique lui faisait face. Il la voulait, il la désirait mais plus que tout il sentait un pouvoir fantastique qui ne demandait qu'à être utilisé au maximum. Il repensa à l'Auror qu'il avait berné grâce au Polynectar. Cela avait été très facile. Il avait remonté jusqu'à lui par la chaine de ses connaissances, puis avait sympathisé. Ensuite il n'avait eu qu'à le faire boire plus que de raison et les informations « confidentielles » lui furent dévoilées. Le pouvoir de la Magie Ancienne avait toujours exercée un énorme attrait sur lui. Il avait déjà tué grâce à ses fonctions dans l'Église moldue, un bon nombre de pratiquantes et pratiquants dans les villages reculés. Il avait vu grâce à un rituel sanglant qui avait coûté la vie à une paysanne, qu'une sorcière surclassait toutes les autres, mais malheureusement le monde sorcier l'avait mise sous sa protection ayant vu ses capacités hors du commun. L'auror ivre, face à lui et qui était responsable de sa sécurité allait lui être utile encore une fois. Teddy utilisa le Polynectar pour prendre l'apparence de l'Auror et ainsi rejoindre son « gibier » sans risque. Il avait projeté qu'ensuite il remettrait ses propres souvenirs dans la tête de son pantin, pour que ce dernier soit persuadé qu'il avait bel et bien commis tous ces crimes. Teddy sourit, dément. Son plan était infaillible. Il obligea son esprit à revenir à la sorcière qu'il chassait. Elle s'appelait Tara Mac Higor. Elle était à présent à bout de force, elle allait lui donner tout ce qu'il voudrait, à lui Teddy Redman. L'état de transe dura encore quelques minutes avant de s'étioler et de disparaître totalement.

Harry écoutait Severus abasourdi devant l'incroyable histoire. Sa tante était une sorcière puissante déjà, cela l'étonnait. Il avait cru que ce qui s'était passé au Manoir n'était le fait qu'un choc entre le monde de Moldu et celui de la Magie, et que cela reviendrait à la normale avec le temps. Que Pétunia soit une sorcière déjà l'interrogeait, mais que Severus soit puni, privé de magie pendant un an le sidéra.

- Il faut que tu récupères ton pouvoir. Poudlard a besoin de toi.

- Encore sept mois !

- C'est trop long ... Pétunia si tu appelles ces hommes, ces femmes injustement tués, que tu leur expliques ...

- Je l'ai déjà fait murmura t-elle. Harry il faut que tu te renseignes sur cet homme, monstrueux qui a voulu me tuer ... ce Steven Witchblood. Il fit « oui » du chef. Il jeta un coup d'½il vers Pansy.

- Ta famille ne le connaitrait pas, des fois ...

- Non ... c'est peut-être pas un Auror comme nous l'entendons ... il travaille peut-être différemment de ce que nous connaissons.

- Des services genre, services secrets ? Ça existe ? Harry était stupéfait, si ça existait c'était la première fois qu'il en entendait parler. Je vais faire de mon possible Severus, ma tante ... je vous promets.

Hagrid entra alors avec un gigantesque sapin. Noël approchait et il fallait le décorer. C'était une époque qu'Harry avait toujours apprécié, surtout depuis sa toute première année à Poudlard.

Hermione Granger s'affairait à faire ses bagages. Elle était impatiente de revoir ses parents et de son côté elle avait tellement de choses à raconter ! Ses cours au Ministère, ce garçon blond qu'elle n'était plus si sûre de détester ... bref elle en aurait sous le pied pour toutes les vacances. Quelqu'un toqua à la porte et en maugréant relâcha le couvercle de sa valise qu'elle tentait de souder au reste.

- Malefoy ... qu'est-ce que tu veux ...

- Euh ... Granger ... je venais voir si tu pouvais me donner un coup de main ...

Malefoy qui me demande un coup de main, incroyable !

- Je ... oui dès que ma valise voudra bien se fermer ... Drago fronça les sourcils.

- Utilise la magie Granger ... ricana t-il sans se rendre compte que cette attitude le mettait à son avantage.

- J'y ait pensé ... mais je vais chez mes parents pendant les vacances de Noël et je ne pourrais pas m'en servir sans attirer leur attention ... et ... Un sort atterri sur sa valise ce qui la déstabilisa et la fit tomber. Malfoy m'enfin ! annule ce que tu viens de faire !

- Non rétorqua t-il amusé.

- Oh toi ... et elle voulu l'attraper mais il esquiva. Ils se coursèrent dans le couloir pendant cinq minutes puis las de jouer au jeu du chat et de la souris, Drago enlaça par surprise une Hermione toute rouge, les cheveux en bataille.

- Drago ... relâche-moi s'il –te plait !

- Il faut me le demander plus gentiment souffla t-il sur un ton terriblement séduisant.

- Drago s'il-te plait ... supplia Hermione.

- Rapproche-toi plus je ne t'entends pas ...

- Drago ... s'il ... elle fut interrompue par la bouche du serpentard qui vint se coller à la sienne.

Il la fit basculer contre le mur tout en maintenant ses deux poignets on ne sait jamais, Granger a une droite du tonnerre. Sa bouche s'appuya plus fortement contre celle de la Gryffondor, imprimant une domination qui n'était pas pour déplaire à l'élève studieuse, la meilleure de Poudlard. Enfin lorsqu'il lui rendit sa liberté, Hermione le fixait, furieuse. Drago se félicita d'avoir anticipé une gifle très probable.

- Malfoy ... comment ? ... pourquoi ?...

- Granger ... je crois que je suis attiré par toi depuis la rentrée mais ton mépris ... le fait que tu m'ignores m'a prodigieusement agacé !

- Je te rappelle que mon sang est impur fit l'autre sentant qu'elle allait se faire annihiler par une colère inédite.

- Laisse de côtés ces foutaises, tu sais très bien que c'est par pur dépit que je t'ai un jour lancé ça !

- Malfoy !

- Tu viens d'aimer ce qui vient de se produire non ? Avoue-le.

- Oui, j'ai adoré! c'était beaucoup plus passionné qu'avec Ron mais jamais Drago le saura !

- Granger ! gronda Drago qui tenait toujours ses poignets contre la paroi du mur. J'attends !

- N... non ... fit Hermione, téméraire.

Drago la relâcha alors et éclata de rire. Tu mens Granger, tu caches bien ton tempérament passionné, même si tu dis le contraire, tu m'as répondu au-delà de mes espérances. Il avait eu la preuve indéniable qu'elle lui avait cédé et donc perdu.

- Tu as adoré Granger, je le sais. Le service que je t'ai demandé oublie-le, je me débrouillerai. Il la laissa là, plantée comme un piquet tandis qu'il retournait dans sa propre chambre en sifflotant.





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